Que lisez-vous en octobre 2023 ?

[carabas]

"I'm so glad I live in a world where there are octobers !" Anne of the Green Gables, Lucy Maud Montgomery.

Que lisez-vous pendant ce mois riche en couleurs et en changements (même si l'été joue les prolongations) ?

Commencé The Secret Society of Irregular Witches, de Sangu Mandanna.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[Lisbeï]

Fini Les coeurs perdus, de Hervé Jourdain, un roman historique sur les guerres de Vendée.

Je m'apprête à commencer Quand on eut mangé le dernier chien, de Justine Niogret.
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Même le soleil se couche.

[Hoël]

J'ai fini Jour Zéro de Robert Cargill et il a exactement les mêmes qualités et les mêmes défauts qu'Un océan de rouille, l'action ne faiblit jamais et en fait un page turner mais les robots, le narrateur en particulier, sont beaucoup trop humains au point d'employer des expressions qui n'ont aucun sens pour eux comme retenir son souffle. Quant à la mini réflexion sur le libre-arbitre des robots, elle est beaucoup trop sommaire.

J'attaque Eclats miroitants, deuxième volume des contes fracturé d'Alix Harrow au Rayon imaginaire, traduit par Thibaud Eliroff, si dans le premier, le conte de La belle au bois dormant en prenait pour son grade, ici, c'est Blanche Neige qui va prendre cher. Super reliure avec un signet, (moi, j'aime les reliures et les signets).
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[krys]

Cupidité, de Deon Meyer.
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Memenne]

J'ai terminé, il y a quelques jours, Calame, de Paul Beorn, et j'ai bien aimé. J'envisage d'ailleurs de lire le tome 2, mais pas tout de suite.

Là, j'ai repris les Rougon-Macquart, avec La conquête de Plassans...

[suisse24]

Avant la forêt - Julia Colin . Un post - apo fantastique , pas mal du tout .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[suisse24]

Une nouvelle vraiment bien - Hell Creek de C. Robert Cargill.
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[carabas]

Lu le fameux Monde sans fin, de J-M Jancovici et de C. Blain.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[claudine W.]

Je suis en train de lire "s'adapter ou mourir" d'Antoine Renand et j'aime beaucoup son style d'écriture. L'histoire est prenante aussi. Pourtant je n'avais pas aimé "l'empathie" (abandon).

[Lisbeï]

Commencé Le chagrin des origines, de Laurence Nobécourt, mais je peine :-s.
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Même le soleil se couche.

[Vassia]

De mon côté j'ai fini La Guerre des Gaules de César.
Ça vaut le coup et vaudrait le coup de creuser tout ça : régime matrimonial des Gaulois, animaux aux allures étranges habitant les forêts...
De la diplomatie et des combats avec la multitude de peuples habitant alors en Gaules auxquels il faut ajouter les Germains voisins à tendance envahissante mais au final bien utiles à César pour avoir raison de Vercingetorix.
(comme quoi l'histoire a tendance à se répéter 😐)
L'énumération de ces peuplades de guerriers a parfois comme des airs de L'Illiade, ce ne sont pas mes passages préférés mais pour les historiens c'est sûr que cela a dû être grandement utile.

De là j'ai embrayé avec une nouvelle de Zola : "L'hypocrisie religieuse (ou Le Jeûne)", bien écrit mais ne casse pas des briques.

Me voici à présent dans une écoute au long cours : "Les Mohicans de Paris"" de Alexandre Dumas.
Ça commençait de façon dynamique (chic) puis s'enlise un peu dans une série d'histoires imbriquées sur fond de description de la société pauvre de Paris (y a un côté Dickens avec Dickens en moins), bref bon voilà je verrai bien où l'auteur nous mènera mais j'ai le sentiment qu'il mène un peu sa barque à l'aveuglette.
Cela dit c'est aussi ce que je me disais en écoutant Dickens et je dois avouer qu'au final il y avait une cohérence dans ses romans, alors on verra 🙂

[Hoël]

J'ai lu Eclats miroitants, deuxième volume des contes fracturé d'Alix Harrow, après le mythe de La belle au bois dormant, c'est à celui de Blanche Neige que s'intéresse l'autrice et plus précisément au personnage de la sorcière, ça se lit vite et agréablement mais c'est moins réussi que le premier dont c'est pourtant la suite directe.

J'ai lu Le dernier des aînés d'Adrian Tchaikovski dans la collection Une heure lumière au Bélial, une variation sur le thème maintes fois exploité de l'observateur doté d'une science supérieure qui ne doit surtout pas s'impliquer dans le développement d'une société primitive mais qui, bien entendu, ne peut s'en empêcher, les tergiversations dudit observateur constituant l'essentiel du bouquin, ça passe parce que ce n'est pas trop long.

Dans la foulée, toujours dans Une heure lumière au Bélial, J'ai lu La peste du léopard vert dont le côté S.F. ne manque pas d'intérêt mais qui surprend surtout par sa double trame narrative fort bien menée et d'une grande originalité, une fois de plus, cet écrivain m'a embarqué.

J'attaque Le premier jour de paix d'Elisa Beiram chez L'atalante, la 4ème de couverture évoque Becky Chambers, on verra bien.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[suisse24]

Clifton - Turk / Zidrou - Just Married .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[Lisbeï]

Lu rapidement Rouge western, d'Isabelle Wéry, dont je ne sais honnêtement pas trop quoi penser :-s. Je m'apprête à commencer L'art du vertige, de Serge Lehmann.
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Même le soleil se couche.

[suisse24]

La véritable histoire de Container City - Joël Henry .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[Hoël]

J'ai laissé tomber Le premier jour de paix d'Elisa Beiram, la bienveillance et le didactisme prêchi prêcha, avec des chapitres entiers de dialogues sans aucun affect mais juste la volonté de démontrer que "si on veut, on peut" -ce qui m'a toujours paru faux comme précept- ont fini par me gonfler. La comparaison avec Becky Chambers revendiquée en 4ème de couverture me semble totalement usurpée, là où celle-ci réussit à entrer et faire entrer le lecteur en empathie avec les personnages les plus improbables, celle-là m'a laissé complètement sur le côté. A noter néanmoins la superbe illustration de couverture.
J'ai commencé Méduse de Martine Desjardins chez L'atalante, c'est très bien écrit, avec, quelquefois, quelques surprenantes irruptions du québequois comme "avec le dos de la pelle" à la place de la cuiller, le côté fantastique et féministe est, pour l'instant plutôt original, à suivre... Là encore, l'illustration de la couverture est très belle.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[krys]

Entre terre et ciel, de Rebecca Roanhorse, tome 1 "Soleil noir"
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[carabas]

Fini The Very Secret Society of Irregular Witches. Sympa, mais trop feel good et trop de romance pour moi.

Commencé le Goûter du Lion d'Ogawa Ito.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[krys]

Les ombres de la vallée, de Viveca Sten
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Memenne]

Après avoir savouré La conquête de Plassans, de Zola, j'ai entamé Explication des oiseaux, d'Antonió Lobo Antunes. L'auteur parvient, par je ne sais quelle alchimie, à multiplier les points de vue et les temps de récit, passant de l'un à l'autre sans perdre le lectorat. Et cela parfois au sein d'une même phrase ! Impressionnant...

[Hoël]

J'ai lu Méduse de Martine Desjardins, un bijou fantastique à l'écriture très travaillée, avec une foultitude de néologismes fort bien trouvés, hautement recommandable !

Je commence Les aiguilles d'or de Michael Mc Dowell chez Monsieur Toussaint Louverture avec la même maquette que pour les Blackwater, l'effet est superbe.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[carabas]

[Lisbeï]

Commencé L'art du vertige, de Serge Lehmann.
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Même le soleil se couche.

[carabas]

Commencé Practical Magic d'Alice Hoffmann.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[suisse24]

Sombres voisins - Anne Waddington .


Le père Achille - Alphonse Daudet . Une nouvelle très courte , mais agréable .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[krys]

Mon territoire, de Tess Sharpe
Triste tigre, de Neige Sinno
L'innocence des bourreaux, de Barbara Abel
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[krys]

Croix de cendre, d'Antoine Sénanque. Bien mais un peu court... il me faudrait un gros livre à lire
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Hoël]

[krys]

merci, je prends note
En attendant, j'ai lu Les aiguilles d'or, de Michael Mc Dowell, et je commence un polar nordique : Personne ne meurt à Longyearbyen, de Morgan Audic.
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Tybalt]

À la pointe de l'épée d'Ellen Kushner, qui est très bien... mais la traduction me fait saigner des yeux ! Je vais devoir m'arrêter et le trouver en VO

En BD :
- Le Long voyage de Léna de Christin et Juillard, une affaire d'espionnage et d'antiterrorisme au Proche-Orient, et ses deux suites :
- Léna et les trois femmes
- Léna dans le brasier
Les deux premiers sont très bien, le troisième m'a un peu moins convaincu en termes d'intrigue, mais ils sont tous les trois réussis en termes d'ambiance, de personnages et de réalisme.
- Comme un oiseau dans un bocal. Portraits de surdoués, de Lou Lubie. Très sympathique, un genre de docu-fiction sur le HPI qui dézingue quelques clichés. J'aurais aimé encore plus de nuance, mais c'est une bonne introduction au sujet.
- Goupil ou face, de Lou Lubie aussi, sur les troubles bipolaires. Excellente ! Elle m'a paru à la fois plus informée (mais en fait c'est moi qui le suis moins car c'est un sujet que je ne connaissais pas du tout) et plus poignante (l'autrice parle de sa propre expérience, ça a dû l'aider).

- En manga, Bride Stories tome 14, toujours aussi beau, j'en parle sur le forum Mangas.
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Si ça vous intéresse : mon blog de lectures (dont des messages postés sur le Coin et étoffés pour l'occasion) et un site sur mes publications

[Hoël]

[Tybalt]

[krys]

Le vent de sables, de Kristin Hannah, très beau portrait de femme pendant la grande dépression en Amérique.
Le parfum de l'hellébore de Cathy Bonidan, qui évoque les progrès en matière de soins psy apportés aux anorexiques et aux autistes dans les années soixante. Intéressant au début, puis s'enlise dans des histoires d'amour... et style pas terrible !
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Fantasy can become reality (Stratovarius).