Posté le: Jeu Nov 10, 2005 5:40 pm Sujet du message: Le Guerrier solitaire - Henning Mankell
Le guerrier solitaire
Comment une jeune fille peut-elle s'immoler par le feu, au beau milieu d'un champ de colza ? Et pourquoi ? Pendant que la Suède se protège de la canicule de cet été 1994 en suivant la Coupe du monde de football, l'inspecteur Kurt Wallander, de la police d'Ystad, assiste presque par hasard à cette scène apocalyptique. Pas question de partir en vacances... surtout que, dès le lendemain, s'enchaîne une série de meurtres atroces : un ancien ministre lubrique, un marchand d'art et un petit truand sont retrouvés scalpés... Quel est le lien entre eux ? Comment empêcher l'assassin de récidiver et pourquoi est-il devenu ce meurtrier sans pitié ?
On connaît le coupable dès le début du récit, mais cela ne nuit en rien à l'intérêt du Guerrier solitaire, ce très grand roman noir, d'un auteur de talent. Tout s'enchaîne au millimètre dans l'enquête de ce policier profondément humain, avec ses histoires de cœur, ses doutes philosophiques, ses obligations domestiques... Un roman formidable !
Au fil des romans ce personnage de l’inspecteur Wallender prend de plus en plus le pas sur l’enquête et c’est ce coté vie d’un inspecteur de la criminelle qui me pousse à les lire j’ai envie d’aller plus loin dans le déroulement de sa vie avoir des nouvelles de sa famille de ses amours de son père somme toute je suis accro au commissaire kurt wallender.
véro v _________________ véro
Inscrit le: 06 Avr 2006 Messages: 58 Localisation: St Etienne
Posté le: Jeu Avr 06, 2006 11:57 am Sujet du message:
Excellent. Mais, à la longue, je commençais un peu à craindre que le sujet ne s'épuise. L'arrivée de la fille de Wallander dans son dernier opus, "Avant le gel" permettra peut-être de retendre le ressort !
Je n'ai pas trouvé ce polar exceptionnel,
C'était pas mal, sans plus.
Sans doute n'ai je pas réussi à me faire au style Mankel.
J'ai essayé la cinquième femme, pour le coup, c'était pire, je n'ai pas réussi à dépassé les 100 prmières pages.
Il me manquait, pour l'un comme pour l'autre, le petit truc qui fait que... _________________ "Pourquoi devons-nous souffrir ainsi ? D'autres se sont conduits plus mal que moi, et s'en sont sortis sans payer pour autant. J'ai l'impression d'avoir tout le cerveau meurtri, j'ai reçu une terrible rossée de la vérité et je me sens soumis, plein de sagesse et de désespoir, comme si j'avais pris un raccourci menant à la sagesse au travers d'un miroir et que je m'étais vilainement coupé au passage "- Staniland dans "Il est mort les yeux ouvert" Robin COOK
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