Comme de la soie - Jean Louis Nogaro

[Le Cafuron]

... vient de sortir !
Je vous rassure, pas de pub ici ! Mais si quelqu'un est intéressé (faut bien vivre quand même !) je lui donne en MP la démarche à suivre pour se procurer cet excellent polar qui va sans aucun doute révolutionner la littérature francophone de ce début de siècle !

[Zelphalya]

[Le Cafuron]

Bien suite à l'intervention de Zelphalya, et à un rapide échange de MP permettant de lever l'ambiguité qui aurait pu résulter de mon précédent message, je tiens à signaler que je ne faisais qu'une tentative humoristique !
Pour en revenir au bouquin, voici quelques infos supplémentaires :


"Mais quel rapport peut-il bien exister entre cet élu local, Victor Ougine, froidement abattu dans sa voiture, Alida Miler et son fils, débarqués en pleine nature d'un train que la neige empêche d'avancer, ou encore Renaud Assaire, professeur de français à tendance libertaire et enfin Léon Farges, l'homme à tout faire d'une entreprise de gardiennage ?...
On apprend rapidement qu'Alida est la femme du mort et Renaud son ami. Mais Léon Farges ?... Que vient-il faire dans cette histoire ? Quel est donc ce lien qui les unit ? Est-il à chercher ailleurs, dans l'environnement, dans le fait que tous soient, chacun à sa manière, des acteurs de la ville de Sainté ?
A moins... A moins qu'il ne faille se tourner vers le passé pour éclairer le présent...

Jean-Louis Nogaro est de ces auteurs qui envisagent le polar comme un outil de peinture sociale où l'humain prime, où les rencontres prennent le pas sur les techniques d'investigation, sans pour autant oublier qu'il faut du ressort à une intrigue.
C'est aussi un metteur en scène des mots qui sait donner du rythme à son récit, qui sait le tenir, dans un découpage proche de celui qu'adopterait un cinéaste.
Enfin, il reconnaît volontiers l'influence de Jean-Claude Izzo sur son écriture. Comme lui, ses intrigues s'inscrivent dans un environnement précis qui devient un personnage à part entière du récit. Pour Izzo c'était Marseille. Ici, ce serait plutôt Saint-Etienne."

Patrick Galmel, webmaster de Pol'art noir, http://www.polarnoir.fr/

Et un petit lien :
http://www.polarnoir.fr/Nogaro/Nogaro_interview.htm

En cliquant sur le livre, on peut lire quelques critiques.

Oualà oualà...

[Le Cafuron]

Pour la couverture, je ne sais pas envoyer d'images quand elles ne sont pas sur le Web !

[Belgarion]

Normal, c'est impossible ici
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Co-administrateur du Coin des Lecteurs ; Rédacteur et correcteur des Chroniques de l'Imaginaire ; Membre de l'Association Tolkiendil

[Sanhucla]

Question : qui est l'éditeur ?

(j'aime bien savoir ce genre de détails ^^)
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Five exclamations marks, the sure sign of an insane mind.

[Le Cafuron]

Les éditions Chloé des Lys, petite maison d'édition belge.
http://www.membres.lycos.fr/chloedeslys/

[CeNedra]

Et hop en polar.
Dommage que j'ai tant de retard j'aurais bien tenté.
J'espère qu'on aura bientôt l'avis de membres du coin. Et félicitations.
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[Le Cafuron]

Merci !

[Le Cafuron]

Puis-je me premettre de revenir à la charge ?
Bon, merci !
Du nouveau :
-Le livre est dispo sur Amazon.fr depuis peu
-Il vient de faire lobjet d'une critique sympa dans "La Tribune-Le Progrès" :
http://www.leprogres.fr/infosdujour/saintetienne/713609.html

Oualà oualà...

Et pour me faire pardonner de parler de moi, je poste une nouvelle chronique polar, dans la foulée !

[cador]

J'ai entendu surtoout du bien de ce bouquin

[Le Cafuron]

Merci Cador, ça, c'est sympa !

[Le Cafuron]

Je reviens à la charge, avec un nouveau petit lien...
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=4330

[cador]

Je l'ai lu, dûment dédicacé par l'auteur..... Si vous voulez passer un bon moment, n'hésitez pas. Une intrigue finement ciselée avec des personnages minutieusement brossés dans le décor d'une ville qui mérite d'être découverte..
Un vrai moment de bonheur

[Le Cafuron]

A propos, j'en ai commis un autre, sorti en juin chez un autre éditeur : St Etienne Santiago chez Ravet-Anceau. Si certains veulent que j'en cause... je crée un fil où on me dit de le faire. Sinon, comme Brassens, je le remets dans ma guitare...

[theyoubot]

[Le Cafuron]

On parle du premier donc... Avec le recul, et très honnêtement, voici ce que j'en pense : (En m'appuyant sur les retours de lecteurs que je ne suspecte pas de subjectivité et sur mon propre ressenti)
Pour reprendre tes mots, il semblerait que ce soit un bouquin plaisant. Je dirais qu'il porte en lui les forces et les faiblesses d'un premier roman. Beaucoup d'idées et d'énergie mais un manque de maturité technique. (Peut-être trop de personnages, une fin un peu alambiquée et venant un peu brutalement)
Le second est beaucoup plus abouti sur le plan de l'écriture et de la maîtrise de l'intrigue, il reçoit une critiqe que je qualifierais de bonne de la part des lecteurs (Ce qui ne veut pas dire que le livre est bon, entendons-nous bien !)... Mais je trouve que le premier est plus personnel, plus "chien fou"... Je l'aime bien malgré ses défauts...

[theyoubot]

Merci. Ton avis est à la fois franc et prometteur.
_________________
Tennis de Table Bordeaux

[Le Cafuron]

Bonjour à tous, ce petit mot pour vous die que le troisième volet de la trilogie est enfin sorti...
Son titre : Les prédateurs font toujours face au courant.
J'explique plein de trucs sur mon blog (premier chapitre, où ça se passe, etc.)
Mais ce serait un plaisir que de développer tout ça ici... si ça intéresse quelqu'un !
http://jeanlouisnogaro.zeblog.com/c-general

[Le Cafuron]

Rebonjour à tous, un petit mot sur le quatrième, La guerre a son parfum. Il s'agit d'un court polar noir (70 pages) publié par la maison que j'ai créée au début de 2010. Je vous livre la quatrième de couv et la couv et me tient à votre disposition pour développer !



"Soixante ans après la fin de la guerre, une équipe de braqueurs allemands sévit sur la ville. Leur cible : les parfumeries de la chaîne Martinaud. C'est le moment que choisit Lucien Bornier, ancien milicien, pour faire son retour sur scène. Quel est le rapport ? Y en a-t-il un ? Ce n'est pas le problème d'Ernest Cafuron. Lui, ce qu'il veut, c'est que personne n'ennuie Linda, sa petite copine, qui travaille justement chez Martinaud. Et il ne faut pas l'énerver, Ernest…

" Puis il montra la bâtisse qui leur faisait face. Une magnifique construction Art-déco, toute blanche.

— C'était le resto Gagnaire, fit Caf ! Si tu veux nous inviter, c'est un peu tard… Y’a belle lurette qu'il a remis ses billes sur Paris, le père Gagnaire. Pas assez de fric à Sainté pour une boîte comme ça…

— Les anciens du quartier ne te diront pas la même chose, Caf, articula Paul, visiblement impressionné. Dès le début, ils ont dit que ça ne marcherait pas. Et vous savez pourquoi ?

Il n'attendit pas de réponse et leur fit face. Puis, grandiloquent il pointa le bâtiment du doigt et asséna :

— Parce que c'est la maison du malheur…"

"La guerre a son parfum" est le quatrième polar de Jean-Louis Nogaro. Après "Un bon flic c'est comme de la soie", "St Etienne Santiago" et "Les prédateurs font toujours face au courant", l'auteur et enseignant stéphanois signe ici un court roman noir dont la ville de St Etienne est à nouveau le théâtre."

[Le Cafuron]

Et après, promis, je ne vous embête plus, mais le site que je citais n'est plus d'actualité. Maintenant, c'est :
Site perso : http://polarboiled.e-monsite.com
Site des éditions du Caïman : http://editionsducaiman.e-monsite.com

[Soleil*]

[Le Cafuron]

Merci !