Que lisez-vous en août 2023 ?

[carabas]

Le soleil est chaud. Qu'avez-vous mis dans la valise pour vous accompagner pour vos vacances ? Ou pour vois consoler si vous travaillez ?

Je fini le cri de la terre de Sarah Lark.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[carabas]

Fini la trilogie et Sarah Lark. Une saga entraînante, malgré des défauts. Pas de la grande littérature, mais un bon divertissement.

Lu rapidement L'Autre Moitié du monde d'Alice Zeniter. Bon complément au livre sur la passion amoureuse de Mona Chollet.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[Lisbeï]

Lu rapidement la revue Solaris, fini le Sayers et de relire le Delany, je rafraichis mon italien avec Satanisti perbene, de Susanna Raule, et m'apprête à attaquer Jaunes Yeux, de Stefan Platteau.
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Même le soleil se couche.

[carabas]

Lu la Péninsule aux 24 saisons, de Mayumi Inaba.
Commencé The Half of a Yellow Sun, de Chimamanda Ngozi Adichie.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[suisse24]

Cry Father - Benjamin Whitmer .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[krys]

Son odeur après la pluie, de Cédric Sapin-Defour
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[suisse24]

La fissure - Jean-Paul Didierlaurent .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[Hoël]

J'ai lu L'aube d'Octavia Butler, un étonnant roman de S.F. où, pour sauver l'humanité, une espèce extra-terrestre enlève les derniers survivants pour se métisser avec eux. Une fois passée l'incrédulité face à un tel défi génétique, la capacité de l'autrice à se pencher sur toutes les conséquences de ce point de départ est, comme d'habitude, stupéfiante et beaucoup plus aboutie que dans La survivante qui abordait des thèmes similaires. L'héroïne est particulièrement attachante avec son double objectif de demeurer indépendante et d'amener l'humanité à l'acceptation de la perte de sa singularité.

J'ai donc poursuivi avec L'initiation, toujours de Butler et toujours Au diable Vauvert, cette fois, le roman se penche sur la destinée du fils de Lilith, métis humain/E.T. qui, de retour sur terre, a pour mission de faire le lien entre les autres métis et les humains ayant voulu rester "purs" mais qui, du coup, sont stériles. Le bouquin est intéressant mais moins que le premier à cause d'un personnage principal plus falot que celui de sa mère. Vivement le troisième tome !

Etonnamment, Rossignol d'Audrey Pleynet chez Une heure lumière au Bélial, traite le même thème que les deux bouquins de Butler avec en prime un décor de station spatiale qui évoque Chanur de Cherryh, j'avoue que l'hybridation E.T. me laisse encore plus sceptique parce qu'elle n'est jamais expliquée ni justifiée, cela dit, c'est fort bien écrit et plaisant à lire.

J'ai lu 150 p. du Courage de l'arbre de Léafar Izen chez Albin Michel Imaginaire et je suis mitigé, si le world building est sympa comme tout, la personnalité des personnages est quasi inexistante.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[krys]

L'épée, la famine et la peste, d'Aurélie Wellenstein
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[suisse24]

Recel de malfaiteur - André Héléna .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[Hoël]

J'ai fini par laisser tomber Courage de l'arbre de Léafar Izen tant les personnages restaient inconsistants, je me pose des questions sur le travail d'édition, Dumay semblait plus rigoureux du temps de Lunes d'encre.

J'ai lu une soixantaine de pages de Le pouvoir de Naomi Alderman chez Calmann Levy qui a donné la série du même titre sur Amazon prime ; pour l'instant, les deux sont fort proches même si le bouquin met beaucoup plus rapidement les choses en place. Adoubée par Margaret Atwood, on peut imaginer que l'autrice a délivré un roman féministe mais je réserve encore mon opinion à ce sujet.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[suisse24]

Petit-Zob pète les plombs - Bernard Nuss .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[carabas]

Commencé Et c'est ainsi que nous vivrons de Douglas Kennedy. C'est mon 1er livre de cet auteur.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[suisse24]

La Planète assassinée - Jan de Fast .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[carabas]

Lu la Clé des Contes, de Bernadette Bricout, suite à une série de podcasts sur France Inter
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-marche-de-l-histoire/la-planete-des-contes-le-petit-chaperon-rouge-3482851
Très intéressant.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[carabas]

Lu le Vent en parle encore, de Michel Jean. Court roman québécois évoquant les pensionnats du début du XXe siècle qui étaient chargés d'"assimiler" les enfants autochtones. Choquant pour les faits et abus dénoncés, touchant au niveau des personnages. Je lirai d'autres œuvres de cet auteur.

Lu aussi le Langage blessé, reparler après un accident vasculaire, de Philippe van Eeckhout. Montre le désarroi des personnes frappées d'aphasie, le parcours du combattant que représente la rééducation et l'importance de remettre l'humain au centre de toute rééducation.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[krys]

J'ai fini Péninsule, de Michael G.Coney, et je commence le tome 2 de L'épée, la famine et la peste, d'Aurélie Wellenstein (sur mon téléphone, car ma liseuse me lâche ! )
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Hoël]

J'ai fini Le pouvoir de Naomi Alderman, un étonnant bouquin se présentant comme une étude historique d'événements s'étant déroulés 5000 ans auparavant. Les femmes développent un nouvel organe qui leur permet d'envoyer des décharges électriques et ainsi de dominer physiquement les hommes. L'autrice développe une thèse simple qui est que, dans ces conditions, elles vont faire subir aux hommes toutes les exactions qu'elles ont subie, non par esprit de revanche mais parce qu'elles en ont le pouvoir, l'humanité étant violente et prédatrice quel que soit son genre ; le bouquin se terminant ironiquement par la suggestion d'une amie de l'auteur de l'étude (qui est un homme) de prendre un pseudonyme féminin afin qu'elle ait du succès. C'est bizarre, souvent malaisant et pas très bien écrit mais ça donne à réfléchir.

Je commence Idol d'Usami Rin chez Picquier, une plongée dans la tête d'une fan d'un idol japonais, c'est très étrange dès les premières pages.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[suisse24]

Le piège aux serpents Adam Saint Moore.
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[carabas]

Commencé Emilia Wild's Encyclopaedia of Faeries de Heather Fawcett.
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Garde tes songes ;
les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous!

Baudelaire, Les Fleurs du Mal, "La Voix".

[Lisbeï]

[Hoël]

J'ai fini Idol d'Usami Rin, une déconcertante plongée dans l'univers d'une fan d'une idole de la J pop, outre l'exploitation commerciale éhontée de l'image de l'idol, on y assiste surtout à l'effacement progressif de la personnalité de la jeune fille pour ne plus laisser que la fan, pire qu'un lavement de cerveau.

J'attaque Eau de rose et soda bread de Marsha Mehran, chez Picquier, la suite d'Une soupe à la grenade, une histoire de trois iraniennes dans un village de la côte ouest de l'Irande que j'avais beaucoup aimée.
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"Tout est dans tout et réciproquement ."

[Memenne]

J'ai abandonné, il faut l'avouer, Cent ans de solitude, de Gabriel Garcia Marquez. Je ne suis jamais parvenu à entrer dans le bouquin, à suivre le fil de l'histoire. Bref, une déception pour moi qui me réjouissait à l'idée de lire ce monument, car c'est ainsi qu'on en parle.

Pour le moment, pas de roman en cours, je lis du Michaux, ses premiers écrits.

[krys]

ah oui il est très long et les noms des persos sont presque similaires, donc la lecture n'en est pas facilitée.
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Memenne]

Il est clair que ces patronymes similaires n'aident pas à la compréhension. Mais même avec des noms distincts, je ne pense pas que j'aurais été capable de tirer un fil narratif au travers de tout cela.

Et cela rejoint l'impression que j'ai eue avec Don Quichotte, que j'ai aussi abandonné. Là, je ressentais une lassitude dans le fait de voir ces aventures se succéder, sans véritable lien, sans progression vers quelque chose. En tout cas, c'était mon ressenti.

Peut-être ai-je un manque d'affinité avec la littérature espagnole ou sud-américaine ? Mais je ne pense pas, en fait, parce que j'ai adoré les aventures du capitaine Alatriste...

[suisse24]

Le gendarme scalpé - Thierry Bourcy .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[suisse24]

L'oiseau bariolé - Jerzy Kosinski .
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Quand on en arrive au mieux que rien , tous les désespoirs sont permis .

[krys]

L'assassin qui aimait Paul Bloas, de Pierre Pouchairet
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Fantasy can become reality (Stratovarius).

[Vassia]

Arf c'est la rentrée 😶
Du coup j'ai repris l'écoute 🙂
J'ai fini Splendeur et misère des courtisanes bon pour être honnête je ne suis pas fâché d'en être venu à bout car il ne s'y passe décidément pas grand chose. Cela dit il y a vers la fin un beau plaidoyer (d'un ancien forçat) pour une réelle chance de réinsertion à offrir aux anciens bagnards dans la société.
En gros : ancien bagnard = pas de travail = pas de revenus possibles = pas de réinsertion possible = problème de société
Problématique reprise plus tard par le Jean Valjean des Misérables.

Alors là, roulement de tambour, j'ai attaqué Fondation de Isamov.
La Science fiction ce n'est pas trop mon truc mais ne mourons pas idiot😁 Au moins je saurais de quoi ça parle et comme un gars que j'ai croisé m'a dit qu'il l'avait écouté en gratuit sur YouTube, let's go.
Pour le moment c'est un peu dans l'esprit de Fahrenheit 451il me semble, à suivre...

[Hoël]

[Memenne]

Après avoir lu les Premiers écrits d'Henri Michaux, j'ai commencé hier Le Roi de Fer, premier tome des Rois Maudits, de Maurice Druon. Et j'ai moult plaisir à le lire, ventrebleu !