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[Fanzine] Le Calepin jaune

 
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Arsenik_



Inscrit le: 22 Avr 2005
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MessagePosté le: Sam Oct 15, 2005 4:28 pm    Sujet du message: [Fanzine] Le Calepin jaune Répondre en citant

Le calepin jaune, fanzine des littératures de l'imaginaire et du XIXème siècle ! Créé en août 2003 qui se consacre à la littérature fantastique, orientée vers le XIXème siècle. Ce qui ne nous empèchera pas de faire quelques incursions dans d'autres époques lorsque le besoin s'en fera sentir.
Comme son nom l'indique, Le Calepin Jaune s'inspire de la fameuse revue The Yellow Book, qui connut son heure de gloire dans les années 1890 en Angleterre, rassemblant nombre d'artistes de l'époque victorienne.
Le Calepin Jaune est maintenant disponible soit par souscription, soit en librairies.Je vous propose ci dessous les chroniques que nous (WongLi et moi avons faites sur les 5 premiers numéros du Calepin Jaune pour les Chroniques de l'Imaginaire
Citation:
Calepin Jaune #0Le calepin jaune, nouveau fanzine ayant un thème précis : faire découvrir les littératures de limaginaire liées au XIXè siècle, nous propose un voyage dans une époque pas si reculée que cela, mais qui, sous bien des aspects, recèle bon nombre de secrets quil reste encore à découvrir. Ouvrez les pages de ce calepin et venez visitez les demeures impossibles et les murs inavouablesLe numéro débute par un article sur Marcel Schwob, son uvre, et plus particulièrement la partie de celle-ci consacrée aux dualités. Dualité de lhomme avec lui-même ou un double illusoire. Dualité dune foule lorsque celle-ci se retrouve dédoubléeMarcel Schwob fut un artiste méconnu, ou mal connu, à son époque et encore aujourdhui. Pourtant, son talent, illustré par la nouvelle qui suit larticle, Lhomme double, nest pas à remettre en cause. En seulement quelques mots, il arrive à dépeindre une situation, qui aujourdhui peut paraître banale, voir risible, mais qui posait de graves problèmes de conscience à lépoque ; je veux parler de la schizophrénie. Mais je vous laisserais découvrir cette nouvelle par vous-mêmeSuit un autre article sur le Préraphaélisme. Celui-ci est on ne peut plus intéressant et nous explique brièvement ce quest cette branche artistique, ainsi que sa courte histoire. Quelques sites Internet sont même proposés en fin darticle si le sujet nous intéresse. Je ferais juste la remarque suivante, même si je sais que lauteur voulut rester dans lanalyse de la réalité : il est à noter quune uvre, de Fabrice Colin, met en scène les grands noms du préraphaélisme, dont une histoire onirique et parfaitement bien amenée. Il sagit dArcadia, en deux tomes chez Mnémos (Les vestiges dArcadia et La musique du sommeil).Ensuite, nous entrons dans la partie des nouvelles. Elle commence par La chute de la famille Edler de Nico Bally. Même si, globalement, toutes les nouvelles mont plu, celle-ci est ma préférée. Lambiance qui sen dégage, le thème abordétout ma plu et je lai dévoré avec avidité. Il y est question dune demande cruciale dun ami concernant la survie du nom de sa famille. Mais, je ne vous en dirais pas plus, de peur de gâcher le plaisir que vous auriez à la découvrir. La nouvelle suivante, Mirjam de Carole Grangier, nous présente une vision romantique et pourtant cruelle du golem. Et omnia vanitas de Denis Labbé montre lart sous un autre jour plussanglant et dérangeant, prouvant que la notion de beau ne peut être définit comme universelle. En voyage, par Eric M., fait partie de ces nouvelles que lon aimerait bien voir développée plus. Lhistoire nest pas inintéressante, mais le traitement de celle-ci est beaucoup trop abrupt, alors quelle mériterait quelques pages supplémentaires. Mon frère dEstelle Valls de Gomis fait aussi partie de cette catégorie. Cest une nouvelle tout en sensualité et en beauté qui nous plonge dans un amour interdit. Enfin, même si ce nest pas une nouvelle mais un poème, nous trouvons Le petit bossu de Jean-Marie Audrain. Une bien belle uvre qui relate la souffrance due à la différence, et les sacrifices inhumains et inutiles qui peuvent en résulter.Nous clôturons par quelques petites chroniques sur des films, des livres, et même des remarques sur des films qui ne sont pas encore sortis, mais qui présagent quelques bons moments dans les salles obscures.Il ny a pas à dire, léquipe de Le calepin jaune sest surpassée pour ce numéro 0. Les articles sont pertinents et intéressants, les nouvelles sont dune qualité littéraire impressionnante (on se demande vraiment pourquoi certains auteurs ne sont pas plus connus !), et les illustrations donnent parfaitement le ton et lambiance qui va de pair avec les écrits. Bref, une revue quil faut suivre et soutenir afin de continuer à nous faire découvrir les facettes de cette époque parfois trop méconnue.Nhésitez pas à visiter leur site Internet, dont ladresse se trouve dans nos pages de liens. Ecrite par WongLi, le 19 Janvier 2004 à 10:01 dans la rubrique Revues .
Citation:
Calepin Jaune #1Voici le numéro 1 de Le calepin jaune qui fait suite à lexcellent numéro 0 qui, je lespère, vous aura autant séduit que moi. Une nouvelle fois, ce sont de savoureux petits textes qui nous sont proposés, que je vais me faire un plaisir que de vous expliquer.Tout dabord, un petit dossier de Denis Labbé qui décortique le rôle joué par les femmes dans les écrits de Villiers de LIsle-Adam. Bien entendu, pour illustrer ces propos, une nouvelle du dit écrivain nous est présentée : Maryelle.Nous poursuivons avec Mantille, de Denis Labbé, toujours. Ici, il sagit de la rencontre singulière dune femme qui va sceller le destin de lami du héros.Elle est suivie par un article fort intéressant de Franck Ferric concernant une mode, dégradée en expression qui, vous vous en rendrez compte en le lisant, est fort mal usitée : le dandysme. Pour ma part, jai non seulement appris beaucoup de choses en le lisant, étant inculte en la matière, mais me suis aussi surpris à sourire à lévocation de certaines tournures de phrases citées.Le libertin, le dandy et le loup noir est une nouvelle de Léandre Borgia qui nous plonge dans un échange de corps particulier où la clef de tout repose sur un écrit commandé par la plus étrange des personnes.Thomas Dumoulin nous emmène près de Londres, lors dune chasse où les légendes, ici personnifiées par Le Mipt, deviennent réalité dans le but de sauver un homme dune mort certaine.Charlotte Bousquet, avec Le sourire de Cheshire, nous propose de retrouver Alice, quelques années après ses aventures au pays des merveilles, en tant que préceptrice et racontant à sa jeune élève lhistoire qui fit quun chat pas comme les autres devint son compagnon.Un soir, par Ernst Duglo-Bulle est à la fois une nouvelle dambiance courte et poignante, mais aussi une extrapolation autour de trois phrases de Colette. Une belle preuve de maîtrise.Insomnie, dun auteur malheureusement inconnu, clos le chapitre des nouvelles avec brio, quoi quavec beaucoup de noirceur (jai adoré !).Pour finir, nous avons le droit aux diverses chroniques des rédacteurs de Le calepin jaune.Que dire avec ce nouveau numéro de Le calepin jaune ? Toujours la même qualité, toujours de nombreux textes passionnants. Bref, que du bon quon ne peut que vouloir quil continue. Vivement juin pour le prochain ! (qui sera, en plus, un numéro à thème : le vampire). Ecrite par WongLi, le 14 Mars 2004 à 18:03 dans la rubrique Revues .
Citation:
Calepin Jaune #2Voici enfin le moment de vous parler du deuxième numéro de ce fanzine que nous avons découvert ensemble il y a de cela quelques mois. Comme d'habitude, vous n'allez pas être déçus: ce numéro 2 est un numéro spécial portant sur le thème du Vampire. Et la quantité est au rendez-vous. Plus de pages, ce qui veut dire plus de textes, et plus de textes, ce qui signifie plus de plaisir.De manière traditionnelle maintenant, le fanzine commence par un article, de Jean Marigny, illustré par une nouvelle (L'histoire vraie d'un vampire). Ici, le thème est le personnage du Comte Vardalek, écrite par le Comte Eric Von Stenbock ; un personnage de vampire ambigü pour l'époque. Mauvais par sa nature mais au comportement étrange et, fait singulier, qui échappe toujours aux châtmiments qu'on lui promet. Un deuxième article nous est proposé ensuite, qui examine un autre personnage classique de vampire : Carmilla. Morgane Guinhouain nous plonge dans l'univers de cette femme de la nuit et de son implication dans la société de l'époque.Puis arrive la série de nouvelles inédites. Encore une fois, beau monde et qualité sont au rendez-vous, pour notre plus grande jouissance.
On commence le bal par Charlotte Bousquet et son histoire : Little One. Elle nous livre une histoire de vampire aux proportions frustrantes et à la rage démesurée. Dans Je connais la méthode de Merlin Gaunt, il faut s'attendre à une situation comique dans un univers qui ne l'est pas. Quand le danger omniprésent est présenté d'une manière dérisoire, c'est un mélange qu'il ne faut pas rater. Les nouvelles d'ambiance sont bien souvent indescriptibles. Je n'essaierai donc de vous résumer Mon Globe et sa Vision de Vanessa Duval-Gagné, je pervertirais inévitablement son propos et votre ressenti. Mortellement Tienne de HéréLys Deslandes est encore un texte d'ambiance. Métamorphose le Roi de Mr You est un poème. Cest vrai que ce n'est pas la forme d'expression dans laquelle je me sens le plus à l'aise, mais celui-ci a quelque chose de simple et d'envoûtant qui a su me parler. Nocturne, écrite par Elica D., débute par une construction qui tranche: une histoire d'amour, une histoire de jalousie. Une histoire de vampires qui ne seraient pas seulement devenus des suceurs de sang, mais des créatures solitaires ; seules et tristes. On termine les nouvelles par une qui retrace un amour intemporel et patient, thème souvent abordé dans les histoires de vampires. Ann Werther. Gabriel du Lac par Eldariel est l'illustration parfaite du côté romantique que peut avoir le vampire, tout en mettant le doigt sur l'absurde de l'amour qu'ils peuvent ressentir.Je ne le nierais pas, je suis devenu un inconditionnel du Calepin Jaune. Les textes tombent juste, les formes sont suffisamment variées pour ne pas ennuyer le lecteur, et il permet de découvrir des auteurs méritants.
Nhésitez plus et commandez-le sur leur site.
Ecrite par WongLi, le 11 Juin 2004 à 09:06 dans la rubrique Revues .
Citation:
Calepin Jaune #3
Une couverture plus orangée que jaune pour ce calepin numéro 3 placé sous le signe du conte cruel et de l’attrait du bizarre avec cette atmosphère si particulière du XIXème siècle. Pas d’article ce trimestre mais des auteurs et illustrateurs digne héritiers des précurseurs du genre.Ce troisième calepin s’ouvre sur un poème du grand Charles Baudelaire : A celle qui est trop gaie et nous pouvons commencer le voyage dans le siècle du bizarre avec l’horrible histoire de Monsieur Carpetto de Gérald Duchemin et son écœurante occupation de chaque heure : la nourriture ! Dans cette nouvelle nous assistons à un repas en tête à tête avec sa femme qui elle n’a que très peu d’appétit. Toujours en rapport avec la nourriture, Yannick Peignard nous invite a dîner dans un somptueux restaurant, le Karabos, vous y rencontrerez peut être le patron qui vous racontera comment il est devenu tragiquement aveugle. Maintenant que nos estomacs sont rassasiés et qu’il se fait tard allons rêver. Rêver d’un être d’une beauté parfaite, digne d’un saint. Mais la différence fait peur, surtout au siècle dernier (ou au précédent) quand on brûlait les sorcières sur les bûchers. Dans L’affront à la sainteté de Jaime un artiste talentueux va recueillir cet ange et faire la plus belle fresque, mais les visions du peintre sont-elles prémonitoire ? Mais voici que le rêve se modifie et qu’apparaît un homme magnifique qui va planter ses crocs d’ivoire dans votre douce gorge mademoiselle, et vous ne serez qu’Une parmi d’autre, comme sûrement Lady Tamara qui rêva d’un homme inconnu. Michel Rozenberg vous fait rêver de l’homme de votre vie, celui qui a passé a votre annulaire L’alliance d’union éternelle mais que la mort vous a arraché. L’union sera éternelle mais à quel prix ? Le réveil est un peu douloureux, encore une fois l’artiste n’arrive pas a retranscrire la beauté de ce qu’il voit mais une femme arrive. Elle ne jure que par les mots qu’il écrit au point de se séparer de lui, qu’il soit L’absent, présent uniquement par ses mots. Pour la reconquérir Nico Bally va lui faire prendre une autre forme physique et la faire souffrir comme lui a souffert. Mais c’est déjà le petit matin, l’aube se lève et la sublime putain fuit le jour. Où va-t-elle La muse froide qui fait l’amour dans un cercueil ? Franck Ferrick nous emmène dans une course contre le temps. La ballade est presque finie. Prenons une légère collation en regardant cet enfantin spectacle de marionnettes intitulé Le dard et la soie que nous présente Amélith Deslandes, vous n’en reviendrez pas !C’est avec un immense plaisir que je viens de lire ce calepin, un calepin cruel, morbide mais toujours jaune comme le fiel. Encore une fois des nouvelles superbes avec des auteurs talentueux qui mérite d’être connus et reconnus. Des textes captivants choisis avec soin pour que le lecteur ne s’ennui pas une minute. Le calepin jaune est promis a une longue vie en continuant a nous offrir de nouveaux talents et un plaisir de lecture hors norme. Rendez-vous au mois de décembre pour le prochain numéro que nous dévorerons avec autant de bonheur et de sueur froide.
Ecrite par Arsenik_, le 14 Octobre 2004 à 21:10 dans la rubrique Revues .
Citation:
Calepin Jaune #4
Vous souvenez-vous, il y a un an, nous vous présentions avec joie un nouveau fanzine qui s'était donné pour but de nous faire découvrir des textes orientés fantastique, bien sûr, mais surtout et avant tout dont l’action se déroule à la fin du XIXème siècle, période chère a Estelle Valls de Gomis, fondatrice de Le Calepin Jaune.
Installons-nous dans la machine à remonter le temps et reculons nos montres de deux cents ans.Le voyage commence avec une présentation par Héloïse Jacob du critique littéraire et écrivain Jean Lorrain. Héloïse nous parle un peu de l’homme mais surtout de ces écrits sur les masques où tout n’est que suggestion. Cette présentation introduit la nouvelle L’un d’eux parue en 1900 dans le recueil de Jean Lorrain intitulé Histoires de masques où le narrateur fait l’étrange rencontre d’un personnage masqué. Gardons nos masques et nos loups pour un Conte Vénitien de Malaïka Macumi où la triste narratrice passe quelques jours de repos à Venise. Au cours d’un bal masqué organisé par son hôtesse elle va découvrir ce qui se cache derrière le personnage d’un étrange tableau. Un texte qui nous plonge directement dans le faste de Venise et de ses bals masqués de la fin du XIXème siècle. A croire que Malaïka fut une Vénitienne de cette époque où toutes les rencontres sont possible. Ce ne sont pas les masques qui sont inquiétants dans Le Dernier Acte de Morgane Guingouain mais les mannequins d’une manufacture de tissage désaffectée. Une orgie macabre a lieu au centre même de la manufacture, orchestrée par un être assoiffé de sang. Morgane nous décrit des scènes d’orgie sexuelle sans tomber dans le scabreux et tout en nous donnant a ressentir toute l’horreur et la peur de la narratrice. Pour nous remettre des horreurs que nous venons de vivre, voici une petite ballade au clair de lune dans un vieux cimetière où Olivier Pietroy va à la rencontre de sa Belle Endormie grâce a un merveilleux poème qui donne envie d’embrasser la gisante qui nous tend les lèvres. Il fait toujours nuit. Et passer la nuit dans une forêt, même celle de notre enfance n’est pas sans risque. L’imagination prend le dessus de la raison ; le Pic de Neuschwanstein, pourtant vide en 1868, va réserver une surprise au jeune bidasse perdu de Thomas Dumoulin. A la lecture de cette nouvelle on peut facilement imaginer qu’au cours d’une promenade en forêt notre jeune auteur a pu se perdre lui aussi pour si bien retranscrire ce qui se passe dans l’esprit de quelqu’un d’égaré en foret. Mais le temps passe, voici l’heure du sabbat, Le Sabbat des éphémères sous la plume à l’apparence si douce d’Hérélys Deslandes mais trempée dans l’encrier de sang des damnés, dont l’âme se nourrit de la mort de petites filles qui danseront pour l’éternité. Le voyage dans le temps, un rêve inaccessible qui a inspirer de nombreux auteurs et notamment Max Philippe Morel. Le narrateur de Souvenir d’Uchronie a la possibilité de visiter l’avenir mais le premier saut qui l’amène dans notre contemporalité lui fait tellement peur qu’il préfère retourner dans son temps et tout faire pour empêcher que le XXème siècle soit ce qu’il a découvert. Avec le texte clôturant ce Calepin Jaune hivernal c’est une nouvelle formule qui est inaugurée : le feuilleton. La Chaîne d’Emmanuelle Maia ne nous délivrera son secret que dans le prochain numéro (à paraître au mois de mars). Trois mois pour imaginer quel maléfice habite la maison où se passe l’action, trois mois pour se raconter l’histoire du vieillard alité dont le narrateur doit s’occuper jours et nuits. Emmanuelle a su à merveille ménager ses effets, doucement elle fait naître l’envie de savoir, de connaître toute l’histoire sans trop en révéler les tenants, simplement en nous parlant du morne quotidien de ce grabataire. Mais pour savoir la suite de l’histoire, il faudra soit soudoyer l’auteur (chose impossible a moins d’être sa mascotte ou d’écrire un bon commentaire de son texte), soit plus simple : s’armer de patience et attendre le Calepin Jaune cinquième du nom.Les auteurs du Calepin Jaune ont sûrement une machine à remonter le temps pour si bien nous conter le XIXème siècle. Et que dire des illustrateurs tel que Jaime et ses troublantes photos ou encore la superbe vampire de Fablyrr, les masques de Cyril Carau, le corset émouvant de Lucile Le Marchand, le mystérieux Lord et le superbe dandy d’Estelle Valls de Gomis sans oublier la mystérieuse Domello "imposée" par Emmanuelle Maia pour illustrer sa nouvelle, qui, par leurs dessins et photos, représentent la merveilleuse époque où tout était encore possible.Ecrite par Arsenik_, le 29 Décembre 2004 à 17:12 dans la rubrique Revues .
Citation:
Calepin Jaune #5Ce ne sont pas les premiers rayons de soleil printaniers qui vont faire peur aux Calepin Jaune qui, malgré l’éveil de la nature, va nous emmener vers les recoins sombres et étranges de l’Imaginaire.Tout commence par un soir d’orage dans les rues sombres du Paris de la révolution ou Pétrus Borel nous transporte. Le jeune Gottfried Wolfgang, étudiant allemand va rencontrer la femme de ses rêves sur les marches menant à la guillotine. Estelle Valls de Gomis, comme bien souvent, met la main à la pâte pour nous proposer un article sur trois bijoux maudits dans la littérature du XIXème siècle, ceux de Washington Irving, celui de Pétrus Borel que nous venons de lire et enfin celui d’Alexandre Dumas. A l’occasion de la sortie aux Editions Oxymore de l’ouvrage Dracula, le lexique du Vampire, notre spécialiste du célèbre Comte ne pouvais pas ne pas nous en parler et a recueilli une interview de l’auteur Alain Pozzuoli. Le trimestre dernier, le Calepin Jaune nous proposais une nouvelle formule pour l’une de ses nouvelles : le feuilleton. Voici donc la fin de La chaîne d’Emmanuelle Maia, quoi que le terme de fin ne convenant pas réellement à cette histoire où la perpétuation est à l’honneur ! Pour faire le pendant a l’article d’Estelle, Tonie Paul a découvert Un collier rose, d’une beauté et d’une valeur inestimable, se transmettant de mère en fille, mais malheureusement maudit lui aussi. Dans le texte offert par notre italienne préférée j’ai nommé Serena Gentilhomme, point question de collier maudit mais de souliers et d’états d’âme de celle qui aime à Corps perdu. Il va être encore question d’amour avec Nico Bally et ses Dix vieilles dévoratrices et le mira-culateur, mais d’amour charnelle où les prouesses sexuelles d’un jeune homme sont de véritables miracles de jouvence et de guérison. Dans Nocturnes, Bénédicte Dartilongue nous compte la triste histoire de Beauté, abandonné à la naissance mais heureusement recueilli par de braves gens mais son sang portait en elle la trace du mal et une seule solution se présentera à elle pour sauver son âme et celle de son enfant. Retrouverons-nous un feuilleton régulièrement dans les pages du Calepin Jaune, apparemment oui car celui d’Emmanuelle Maia étant fini en voici un autre qui nous tiendra en haleine jusqu’en septembre. C’est Léonor Lara qui, avec Vous m’avez fait former des chimères, va nous nous emmener à la rencontre d’un châtelain chasseur de l’étrange.Que dire ? Que dire qui n’a pas été déjà dit dans nos pages sur le Calepin Jaune ? J’avoue ... je ne sais plus ! La qualité des textes, des articles, des interviews, des illustrations (n’oublions pas de citer Domello, Lyssoria, Dorian Machecourt, Naïve et notre chef d’orchestre Estelle Valls de Gomis qui touche à tous les arts avec talents). Le Calepin Jaune sait à chaque fois nous étonner et nous dépayser à merveille sans qu’une seule ligne ne soit ennuyeuse.
Ecrite par Arsenik_, le 17 Avril 2005 à 17:04 dans la rubrique Revues .
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Les recueils du Calepin Jaune - 1 - Les gentlemen de l'étrange - Estelle Valls de Gomis
Les recueils du Calepin Jaune sont une sorte d« annexe », un plus, au Calepin Jaune, dont je vous présentais le numéro 0 il y a peu de temps. Son but est, je cite, « de publier de temps à autre un recueil périodique consacré soit à un auteur, soit à un thème ». Cest une excellente initiative et la sortie de ce premier numéro, alors que le premier numéro du Calepin nest pas encore sorti lui-même, peut surprendre. Cependant, laissez de côté cette émotion et suivez-moi pour découvrir les Gentlemen de létrange.Les gentlemen de létrange, ce sont Manfred Gladstone, psychiatre de linstitut Blacklands House, et Wolfgang Bloodpint, héritier dune famille fort fortunée. Ils ne seraient rien sans Mademoiselle Wilhelmine, la gouvernante de Bloodpintune étrange femme. Nous allons les suivre au travers de cinq nouvelles. La première, Un cigare pour Manfred, nous présente les personnages, leurs habitudes, leur caractère, et pose le monde dans lequel ils évoluent ; un monde sombre et décadent dans lequel le paranormal deviendrait presquenormal. Ils vont être confrontés à un fou ainsi quà une étrange faille. Et dans leur enquête, ils vont faire la rencontre dun des personnages centraux de leurs aventures, la souris Ernest, souris intelligente et parlante qui mesure environ cinquante centimètres. La deuxième nouvelle, Le Zburator, est une variation sur le thème du vampire, thème classique, mais qui ici gagne un nouveau souffle rafraîchissant. Wendigo propulse nos amis dans le Nord américain à la poursuite de la créature du même nom. Du gruyère et du sang plonge les gentlemen dans une histoire des plus sordides ou il est question de nécrophilie. Autant dire que le sujet pourrait devenir vraiment très lourd, ne serait lambiance générale des nouvelles sur laquelle je reviendrais plus tard. Enfin, Du vert dont on fait labsinthe, clôture ce recueil. Cette courte nouvelle ne pousse pas lintrigue comme dans les autres. Seulement, elles dévoilent des détails sur les personnages que je trouve essentiels. Mais, je nen dirais pas plus.Un univers totalement fantastique, mais très sombre. Je parlais tout à lheure dune ambiance particulière. Le choix dEstelle Valls de Gomis a été de traiter cette série sur un ton très humoristique, voir décalé parfois. Cela nenlève, bien sûr, rien à certaines horreurs narrées, mais permet, peut-être, dalléger lambiance qui, sinon, deviendrait totalement étouffante. Un choix que je trouve fort judicieux et qui donne loriginalité et le ton quil faut pour savourer pleinement les aventures de nos deux compères.Bref, javais trouvé Le Calepin Jaune dune grande qualité. Je dirais exactement la même chose pour Les recueils du Calepin Jaune. Osez le découvrir, et vous ne serez pas déçus.A quand la suite ?Ecrite par WongLi, le 18 Février 2004 à 22:02 dans la rubrique Revues .
Citation:
Les recueils du Calepin Jaune - 2 - Avertissement à qui voudra m'amier - Nico Bally
Comme prévu Le Calepin Jaune nous offre annuellement un recueil hors série consacré à un auteur en particulier ou bien a un thème. Après Les gentlemen de l’étrange de notre chère Estelle Valls de Gomis voici à l’honneur Nico F. J. Bally avec un hybride roman/recueil, Avertissement a qui voudra m’aimer dans lequel nous allons suivre les aventures cauchemardesques et surréalistes d'un jeune écrivain en quête de frissons.Tout d’abord a la recherche d’un éditeur, notre héros va faire la rencontre d'une directrice littéraire sublime mais qui ne veut que d’un amour platonique. Grâce a elle, il va aussi rencontrer les associés de Séphir avec lesquels il va connaître une expérience au cœur de l’univers qu’aucun homme n’a connu jusque là mais surtout il va rencontrer l’homme qui va bouleverser sa vie : le Baron de Natlen, Rohan L. N. Edler. Après lui avoir demandé d’écrire la biographie de sa famille celui-ci va lui demander de sauver aussi son nom en donnant un enfant à sa sœur, la baronne de Natlen. A leur décès, le narrateur va hériter du manoir et des terres des Edler. Il s’y installe avec sa sœur et le compagnon de celle-ci et peut vivre sur les bénéfices des ventes de ses livres qui sont enfin publiés. Il commence a avoir une certaine notoriété dans la haute société de Natlen. Tout va bien pour ce jeune auteur jusqu’au jour où il reçoit un roman ensorcelant. C’est là que les douze têtes vont entrer dans sa vie, car il va être le débiteur de ceux qui l’ont sauvé. Par la suite il va être amené à aider une famille a trouver le repos ainsi que celui de leur fille décédée. Le recueil se termine par une histoire d’amour, mais cette femme aime l’homme ou les mots qu’il écrit ? Nous voila plongés dans un XIXème siècle où les aventures surnaturelles font parties du quotidien, un XIXème siècle érotique, drôle et comme pour chaque Calepin Jaune c’est un véritable dépaysement temporel. Le tout magnifiquement illustré par Mikl Leprêtre.
Ecrite par Arsenik_, le 20 Février 2005 à 18:02 dans la rubrique Revues .

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MessagePosté le: Sam Oct 15, 2005 11:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant


J'avoue que je suis de plus en plus tentée. Surtout qu'il y a la-dedans quelques auteurs que j'apprécie beaucoup.
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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2005 6:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Moi de même! Merci en tout cas aux chroniqueurs de leurs avis *Wink* elles ont parfaitement rempli leur rôle, à savoir donner envie de lire! *Wink*
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MessagePosté le: Dim Oct 16, 2005 8:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

YES !!!! Au moins on se rend compte qu'on ne fait pas cela pour rienPar contre il me semble que les anciens numéros sont épuisés mais au vue des 6 numéros lus + les 2 HS ils sont tous de la meme qualité
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MessagePosté le: Mer Nov 30, 2005 9:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Calepin Jaune #6Le Calepin Jaune que nous avons attendu tout l'été est enfin entre nos mains fébriles. Suite à quelques soucis que l'équipe du Calepin, menée d'une main de maître (dans un gant de velours) par Estelle Valls de Gomis, a su surmonter brillament. Ce sixième Calepin Jaune en est ressorti que plus jaune avec un léger embompoint qui n'est pas pour déplaire à ses lecteurs.
La machine à remonter le temps est prête, les voyageurs en partance pour le XIXème siècle, en voiture s'il vous plait, départ immédiat.Premier arrêt chez Charlotte Bousquet pour rencontrer une Persona Non Grata, par le biais des pensées et du journal d'une jeune acrobate, qui a cru renconter l'amour qui la sauvera du vide. Mais, malgré tout, le spectacle continu et le vide l'attire inéxorablement.
Nous repartons faire une courte escale avec Mathieu Fortin (éditeur de Brins d'éternité) pour qui le mois de Février : Renaissance. Mois le plus froid de l'année en nos contrées mais d'autant plus froid pour le coeur du narrateur, qui ne souhaite qu'une chose : retrouver les siens qui ne lui rendent plus visite.
Mais voila que notre train ralenti à l'approche du sombre village de Nihil Messtavic, personnage étrange dont les textes nous arrivent par le biais de sa légataire testamentaire Charlène Abbo. C'est La dernière lettre qu'il est en train d'écrire, celle où il raconte comment la bête, le mal incarné, a pris posséssion de sa tendre épouse puis de lui-même et surtout comment il va réussir à le vaincre.
Notre ballade dans le XIXème siècle n'est pas pour faire un Voyage à Bain comme Renaud Cerqueux, mais nous allons nous y arrêter pour, tout d'abord, découvrir la magnifique et très elaborée architecture de la ville mais surtout commencer à entrevoir ses vices et les turpitudes de ses résidents. La ville est grande et pleine de mystère, nous en découvrirons plus dans les prochains Calepin Jaune.
Mais voici Le vieil Emile, qui nous rejoint avec Franck Guilbert (directeur des Editions Nuit d'Avril). Ce vieil ivrogne qui picolait la gnôle faite illégalement par son frère. Les habitants étaient tellement habitués à le voir deambuler avec ses deux bouteilles dès la tombée de la nuit... Mais pourquoi ne parle-t-il plus à personne depuis la mort de son frère ? Et où continu-t-il à trouver de l'alcool ? Le secret du vieil Emile à toujours été gardé précieusement par les villageois.
Tandis que notre train ralenti nous pouvons voir les restes calcinés d'un batiment. Ceci est la conséquence Sur un air de folie de la clairevoyance d'un clerc de notaire qui a cru débusquer l'antre d'un nid de vampire. Comment ne pas penser à ces être affamés de sang face à une femme qui ne vit que la nuit, ne se regarde jamais dans une glace et qui ne supporte pas l'ail. Malgré tout l'amour qu'il lui porte et toute la joie de vivre qu'elle lui donne, il fallait qu'il agisse pour le bien de l'humanité, comme nous le fait si bien comprendre Stanislas Delaplace.
Mais que se passe-t-il, notre train qui nous mène en voyage dans le XIXème siècle s'est arrêté brusquement et un cri rententi : C'est est assez ! C'en est assez de toutes ses questions qui reviennent sans arrêt pour Vanessa Duval-Gagné, des questions, des réponses mais les unes correspondent-elles avec les autres ?
Un peu de calme après ses dernières turbulences que notre voyage connait, un peu de tendresse avec Corinne Molina qui a vu La rencontre, celle de deux êtres qui s'attirent l'un l'autre, qui s'aiment et qui enfin, après des siècles de solitude, vont pouvoir s'aimer pour l'éternité.
Armand Cabasson, un verre d'absinthe à la main nous conte maintenant Les riches heures gothiques victoriennes de Lord Soffen. Les turpitudes de ce Lord sont salaces et sanguines mais longues et c'est pourquoi nous ne saurons de lui que le minimum pour le retrouver dans les prochains numéros du Calepin Jaune.
Et voici enfin la suite tant attendu de Vous m'avez fait former des chimères de Leonor Lara pour terminer notre voyage dans le temps. Vous savez, ce village hanté par une bête monstrueuse que personne n'a réellement vu, mais qui décime les animaux et effrait les enfants et les femmes et même les plus endurcis des hommes. Il se passe des choses étranges dans le chateau de Gussen mais notre héros n'est pas encore au bout de ses surprises.Un Calepin Jaune en retard soit mais un Calepin Jaune bien rempli comme vous pouvez le constater ! Et comme on dit il vaut mieux tard que jamais. Les dix nouvelles présentées ici n'ont rien a s'envier les unes aux autres, tout ce qui fait le charme du XIXème siècle y est présenté : les âmes damnées, les vampires, les chimères, les fantômes et le tout illustrés juste comme il faut pour ne point trop en dévoiler par Michelle Bigot, Fablyrr et Estelle Valls de Gomis en personne. Il n'y a pas d'article ni la rubrique "A voir ou à revoir" mais elles reviendront bientôt dans les prochains numéros. Uniquement des nouvelles à faire palir les meilleures anthologies. Un vrai régal !Pour retrouver le Calepin Jaune sur Internet une seule adresse : [url=http://www.geocities.com/lecalepinjaune/ ]http://www.geocities.com/lecalepinjaune/ [/url]. Ce site vous propose les sommaires des Calepins à venir ainsi qu'un bon de commande ou un bulletin d'adhésion à imprimer et à renvoyer par voie postale au siège du Calepin Jaune.
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Dernière édition par Arsenik_ le Jeu Déc 01, 2005 1:46 pm; édité 1 fois
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MessagePosté le: Jeu Déc 01, 2005 12:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Euh... pourrais-tu "dépavéiser" ton post ? J'arrive pas à lire là... *Embarassed*
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MessagePosté le: Jeu Déc 01, 2005 1:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

estce mieux ?
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MessagePosté le: Jeu Déc 01, 2005 3:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ouep *Smile*pas parfait mais mieux *Mr. Green*
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