La jeune Fille et les Clones - David Brin

[Le Coin des Lecteurs]

Par Dracosolis

La jeune fille et les clones de David Brin chez Pocket


Maïa et sa soeur sont des vars, c'est à dire que les deux jumelles au lieu d'être issues d'une lignée de clones féminins conçus en hiver, sont des individus uniques conçu en été. Sur cette planète matriarcale dirigée par les clan de clones femmes cela signifie une vie de labeurs ingrats et de servitude. A moins qu'elle ne réussissent à faire fortune et à fonder leur propre clan.
Leur espoir viendra des étoiles...


je crois qu'il s'agit du meilleur David Brin. Ce livre me renvoie férocement à "Chroniques du pays des Mères" de Vonnarburg - que par ailleurs j'aime beaucoup, faut pas croire - en ce sens que la thématique, autant que l'organisation sociale sont dans le même créneau (sans le fantasme de mort en masse des mâles chez Brin alors que chez Vonnarburg, hum!) :cool:


cependant Brin s'en sort bien mieux sans compter que sa démonstration et son extrapolation ont leurs bases dans une ébouriffante aventure à base de pirates et chants des épées.

flemme d'aller chercher l'autre URL.net

[Lisbeï]

Eh eh Draco, tu piques ma curiosité ! Il faut que je le trouve !
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Même le soleil se couche.

[Soleil*]

[Lisbeï]

Personnellement, dans ce roman enfin lu, j'ai trouvé l'illustration de l'étape préalable au Pays des Mères, celle des Ruches, précisément. Ce que j'y ai bien aimé, c'est le fait que les hommes y aient une place particulière (une "niche", certes, dans tous les sens du terme ;-s !!), outre la sexualité. L'aspect du clonage, par ailleurs, est absent des Chroniques du Pays des Mères (même si on le trouve dans Le silence de la cité, le roman antérieur dans le même univers). Cela dit, je n'ai pas eu l'impression que cette notion de clonage soit si exploitée que ça dans le roman de Brin. Ce qui m'a vaguement dérangée, c'est l'enchaînement incessant des catastrophes qui arrivent à cette pauvre gamine, et le fait que je n'ai guère été surprise par les péripéties, à mon avis souvent téléphonées. Il n'empêche que j'ai trouvé que c'était une lecture plaisante :-).
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