Les larmes de Tarzan - Katarina Mazetti

[Soleil*]

Présentation de l'éditeur
Elle c'est Tarzan, lui Janne. Ils n'auraient jamais dû se rencontrer, mais voilà qu'elle lui est tombée dessus, dans tous les sens du terme, un jour où justement elle jouait à Tarzan, suspendue au bout d'une corde. Un sacré numéro, cette Mariana, et pas du tout son genre à lui, l'homme d'affaires plein aux as, habitué à collectionner les canons qu'on voit dans les magazines. Il voudrait bien comprendre pourquoi il est obsédé par cette nana fagotée comme un sac à patates, les cheveux en pétard, qui ne s'épile même pas le maillot et qui, malgré une attirance réciproque et une formidable entente sexuelle, n'est même pas amoureuse de lui. Pour couronner le tout, elle est flanquée de deux mômes impossibles, une vraie calamité pour les sièges cuir de sa Lamborghini dernier cri.
Après le succès du Mec de la tombe d'à côté, Katarina Mazetti revient avec une histoire de couple encore plus déjantée.

Sympa sans plus.
Ca m'a beaucoup rappelé les livres de Didier Van Cauwelaert : une histoire toute simple entre un mec ultra-riche et une nana...
La narration alternée Janne/Marrianna/les enfants est parfois surprenante, on voit les mêmes scènes plusieurs fois et ça n'apporte pas toujours vraiment un plus..
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.

[Lisbeï]

Dommage, ç'avait l'air attirant a priori.
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Même le soleil se couche.

[Soleil*]

En fait, je cherchais "le mec de la tombe d'à côté" à la biblio mais il était sorti alors j'ai pris celui-là à la place. Je l'ai lu sans déplaisir, mais c'était suffisamment creux pour que "le mec de la tombe d'à côté" sorte de ma liste à lire ;-(
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.