Griotte Book-Addicted
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Posté le: Lun Juil 30, 2007 11:23 am Sujet du message: La Défense Lincoln - Michael Connelly |
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Citation: | Présentation de l'éditeur
Défenseur attitré des chauffards, bikers et autres dealers, Mickey Haller est habile au prétoire mais méprisé par le barreau de Californie. Il passe sa vie dans sa Lincoln à traquer les petites affaires. Un jour, pourtant, il décroche le gros lot: un riche fils de famille fait appel à ses services. Mais l'excitation des débuts cède bientôt la place à l'inquiétude. Haller s'aperçoit que cette "aubaine" pourrait bien lui coûter la vie... |
Je sens que je pourrais encore aller dans les superlatifs... Je sais cela m'arrive souvent avec cet auteur.
lol
Je suis fan et j'avais peur de quitter Harry Bosh, Mickey Haller, c'est un nom ça ?
J'ai commencé le roman, un peu perplexe, pensant que l'auteur se reposait sur ses lauriers, c'était assez moyen, je me demandais comment on pouvait faire 600 pages avec presque rien,...
Un truc me turlupinait cependant, pendant le premier interrogatoire du client d'Haller. Une erreur de traduction, sans doute. Franchement ces traducteurs!!! La prochaine fois c'est VO.
Et puis la machine s'emballe on se sait comment, l'intrigue prend une direction inattendue, les événements s'enchainent sans que l'on comprenne ce qu'il se passe et pourtant il faut suivre! Et non, ce n'était pas une erreur de traduction, juste un indice placé là qui n'attendait qu'on le voit....
Mickey et sa petite bande vous font vivre des moments de suspens intense. On retient son souffle jusqu'au dernier point. ou presque.
C'est du très très bon boulot!
Connelly, je suis fan, il n'y a pas à dire!!!!!!!
_________________ "Pourquoi devons-nous souffrir ainsi ? D'autres se sont conduits plus mal que moi, et s'en sont sortis sans payer pour autant. J'ai l'impression d'avoir tout le cerveau meurtri, j'ai reçu une terrible rossée de la vérité et je me sens soumis, plein de sagesse et de désespoir, comme si j'avais pris un raccourci menant à la sagesse au travers d'un miroir et que je m'étais vilainement coupé au passage " - Staniland dans "Il est mort les yeux ouvert" Robin COOK |
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