Le soupir de l'immortel - Antoine Buéno

[Soleil*]

Présentation éditeur
An 570 après Ford (2478 après J.C.). Une humanité pacifiée, uniformisée, des hommes/femmes bisexués et immortels, le monde est devenu une utopie réalisée. Si ce n’est qu’une humanité immortelle implique un contrôle drastique des naissances, la procréation naturelle n’est plus qu’une scorie du passé. Les enfants, un privilège rare et précieux. Donc cher. Un thème de campagne parfait pour Karl Carnap : la famille régénérée, offrir à tous la joie d’élever un enfant. Bientôt il sera PDG de la fédération mondiale. Mais une cellule familiale plus chaotique qu’elle ne s’en donne l’air, un complot politique machiavélique, une histoire d’amour impossible vont mettre à mal ses projets…

Mon avis
Enfin terminé ! (soupir de soulagement...)
A priori, le pitch me tentait bien. Mais il n'y a pas eu moyen que je rentre dedans. Dès les premiers chapitres, j'étais à la fois écoeurée et à moitié endormie. Je me suis acharnée en quête de l'hypothétique changement de ton en cours de route (SP oblige), mais même si un semblant d'intrigue a fini par pointer son nez, ça n'a pas suffi.
Vous m'avez déjà fait la remarque que j'étais trop indulgente par rapport aux scènes de sexe : ben là, je vous le dis tout net, c'était trop pour moi.
Bref, on sent bien le travail de l'auteur, mais le résultat n'est pas à la hauteur.

Mon avis complet pour les Chroniques de l'Imaginaire ici : http://www.climaginaire.com/index.php/climaginaire/Livre/Roman-Nouvelle/SF/Le-soupir-de-l-immortel
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.

[theyoubot]

[Soleil*]

C'est sûr qu'après avoir lu toute la série des "Merry Gentry" de Laurell K. Hamilton, ou les premiers volumes des "infortunes de la belle au bois dormant" d'Anne Rice, et sachant que je suis amatrice des romans à l'eau de rose de la collection "Aventures & Passion", ça semble bizarre. Ce qui n'a pas collé dans ce roman-ci, c'est la vulgarité dans la manière dont c'est présenté.
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Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu.